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Mon stage à Londres en relations presse et publiques

Portrait de Lara Van Campenhout, étudiante à l'ISCOM à Lille.

Lara Van Campenhout, est étudiante en 2e année à l'ISCOM à Lille. Elle revient sur son expérience chez Kiko Gaspar Communications à Londres, en tant que stagiaire Marketing and PR Executive.

 

Où avez-vous fait votre stage, quelles étaient vos missions ?

J'ai réalisé mon stage de 2ème année à Londres dans une entreprise de relations presse et publiques. J'ai été responsable du digital marketing mais aussi des relations presse pour l'un de nos clients. Lors de mon stage, j'ai pu entreprendre plusieurs projets. J'ai débuté en tant que community manager et suis rapidement passée au digital marketing. Je devais principalement m'occuper de gérer les réseaux sociaux de mon entreprise et de l'un de nos clients. De plus, je devais produire du contenu graphique et aider au référencement.  Par la suite, mon manager voulait que je découvre toutes les facettes du monde des RP.

Il m'a donc changé de poste et m'a placé dans le service des RP. J'ai donc géré les mouvements d'échantillon (envoi des samples aux éditeurs, stylistes et VIP), rédigé des communiqués de presse et relancé les publications par la suite. J'étais également amenée à me rendre en meeting avec des éditeurs ou des futurs collaborateurs pour discuter de nos clients et de nos projets. J'ai également eu l'occasion de manager un événement lors de la Fashion Week de Londres.

Enfin, ma dernière mission, et probablement la plus surprenante, fût d'être coordinatrice d'équipe. Je devais gérer le travail de chacun, allant de la distribution des tâches à la correction des travaux et au contact direct avec les clients et les journalistes.

 

Pourquoi avoir choisi l'Angleterre pour votre stage de deuxième année ?

J'ai toujours aimé l'Angleterre. Cela fait maintenant plusieurs années que je m'y rends à titre personnel. J'ai ensuite voulu voir comment c'était du point de vue professionnel. J'aimerais m'y installer à la fin de mes études : c'était donc l'occasion de découvrir cette nouvelle facette du pays.

 

Est-ce que l'éloignement géographique vous a fait peur ?

Pas du tout ! Londres n'est qu'à 1h30 de Lille en train et à peine quelques heures de plus en voiture ou en car. C'était une première expérience professionnelle à l'étranger pour moi et j'ai tout de suite adhéré à ce nouveau rythme de vie, loin du confort de Lille.

 

Quelles ont été vos attentes par rapport à cette expérience professionnelle ?

Avant de partir, je ne m'attendais certainement pas à vivre une expérience aussi enrichissante, que ce soit d'un point de vue professionnel ou culturel. J'étais un peu nerveuse. Je savais me débrouiller en anglais mais je ne savais absolument pas comment j'allais réagir sur le lieu de travail et si j'allais réussir à suivre le rythme. 

 

Comment s'est déroulée votre arrivée ?

Heureusement pour moi, je n'ai pas débarqué à Londres seule. J'étais accompagnée de deux de mes amis Iscomiens, Laura et Timothée, qui faisaient également leurs stages dans la capitale anglaise mais dans différentes entreprises. A peine les bagages posés, le lundi, nous étions tous les trois attendus sur nos lieux de travail respectifs. J'étais tétanisée à l'idée d'affronter cette première journée de travail mais j'y suis quand même allée avec le sourire et en sachant que le soir, j'allais retrouver mes deux acolytes pour souffler un peu. 

 

Racontez-nous la première journée de stage.

Ma première journée de stage a été particulièrement dense. Je suis arrivée sur place presque trois heures à l'avance. J'avais peur d'être en retard lors de mon premier jour. Ce qui est logique. Je ne connaissais pas le quartier ni les conditions de circulation un lundi matin à Londres ! J'ai donc pris le temps d'explorer un peu avant de me rendre. J'ai été accueillie par le CEO de l'entreprise qui m'a mise au courant de toutes leurs dernières activités. C'est à ce moment-là que j'ai su qu'il fallait que je m'accroche afin de tenir le choc. Rapidement, mes collègues sont arrivées et j'ai été formée aux différents programmes que nous utilisions. Dès le premier jour, j'ai été mise aux commandes de la partie digitale de l'entreprise. Je n'avais pas encore deux heures d'ancienneté dans l'entreprise lorsqu’on m’a confié la partie webmarketing de l’entreprise. La journée, bien que stressante, s'est avérée être pleine de bonnes surprises. C'était le début d'une belle aventure !