Montréal

Stage à l’international - Montréal

Faire un stage à Montréal, c'est possible à l'ISCOM

Qui êtes-vous ? D’où venez-vous ? Pouvez-vous vous présenter ?  

Farah : Moi c’est Farah, j’ai 22 ans et je suis originaire de la région parisienne. J’ai toujours rêvé de vivre une expérience à l’étranger et de m’immerger dans une nouvelle culture. C’est pourquoi j’ai choisi d’intégrer en 3ème année le Programme Grande École de l’ISCOM car elle pousse ses élèves à s’ouvrir à l’international. 

Léa : Je m’appelle Léa Salaün, j’ai 21 ans et tout comme Farah, je réside dans la région parisienne. Issue d’un DUT Techniques de Commercialisation, j’ai intégré le programme Communication Globale des Entreprises et des Marques de l’ISCOM avec l’envie d’approfondir mes connaissances en communication et d'assouvir mon attrait créatif. 

 

JOURNÉES PORTES OUVERTES

 

"Farah SCHNEIDER""Léa Salaün"

 

Comment as-tu trouvé ton stage ? 

Léa : Passionnée par la découverte du monde et animée par une constante envie de réaliser de nouvelles expériences, j’ai toujours rêvé de partir à l’étranger pendant plusieurs mois. 

Dans cette dynamique, j’ai commencé ma recherche de stage très tôt, au début de l’été 2021, en en parlant principalement autour de moi. C’est en septembre 2021 et grâce à l’aide d’une connaissance que je suis rentrée en contact avec Martin Brunot, jeune entrepreneur et fondateur de la start-up canadienne Chasen Matcha, aux côtés de Théo Legrais. 

Après plusieurs échanges, il a finalement été convenu que je réalise mon stage à leurs côtés, au Canada, pour contribuer à l’émergence de leur jeune entreprise et plus particulièrement, leur notoriété de marque à travers les réseaux sociaux et leur site web. 

Farah : Au départ, j’étais partie dans l’idée de faire un programme Erasmus en Europe car je pensais qu’il était impossible pour moi de dépasser les frontières internationales dû au contexte de la crise sanitaire. Cependant, lorsque j’ai vu Léa enclencher les démarches pour faire son stage au Canada, j’ai eu tout de suite envie de la suivre et de partager cette expérience avec elle. 

C’est pourquoi, j’ai finalement consacré toutes mes recherches vers des entreprises à Montréal et Toronto et c’est ainsi que le 5 novembre 2021 que j’ai eu une réponse favorable de la Société de Développement Commercial d’Hochelaga afin d’effectuer mon stage à leur côté pour une durée de 5 mois. 

 

Peux-tu en dire plus sur l’entreprise pour laquelle tu travailles ? 

Farah : La SDC Hochelaga-Maisonneuve est un catalyseur économique, culturel et social qui s’engage envers ses commerçants et sa population à soutenir des projets de développement durable et d'achat local. Elle organise tout au long de l’année des événements haut en couleur accessibles à tous permettant ainsi le rayonnement du quartier dans le grand Montréal.  

Jusqu’à aujourd’hui, mes missions sont très variées : j’agis à la fois sur des missions créatives et stratégiques comme la planification de post sur les réseaux-sociaux, la création de t-shirt, du merchandising vitrine, du street marketing écologique et de l’événementielle.  

Léa : Chasen Matcha est une jeune entreprise canadienne créée en février 2021, par deux étudiants passionnés de gastronomie japonaise. Auparavant consommateurs de café et boissons énergisantes, ils se sont orientés vers le thé matcha en vue de bénéficier de ses multiples vertus et en sont finalement devenus amateurs avertis. Ils ont ainsi tout naturellement contacté des fournisseurs de matcha, situés au Japon pour par la suite, en faire bénéficier au plus grand nombre. 

Responsable et engagée, Chasen Matcha propose une poudre de thé matcha certifiée biologique, de grade premium ainsi que des ustensiles indispensables à sa préparation, afin de satisfaire au mieux sa clientèle. Ces produits peuvent aussi bien être vendus en direct lors de démarchages en boutique auprès de professionnels ou bien par le biais de solutions digitales grâce à leur site web.  

 

Comment se passe votre adaptation à la vie au pays ? 

Nous : Après un peu plus de deux mois sur place, nous pouvons dire que notre adaptation à la vie Montréalaise s’est très bien passée.  

Selon nous, cela est notamment lié au fait qu’il n’y a pas eu de réelle fracture par rapport à notre vie française. En effet, le rythme de vie est assez similaire, la majorité de la population parle français et les habitants de notre quartier sont très accueillants.  

 

  • Peux-tu dire quelques mots sur ta recherche de logement et le coût de la vie ?  

Nous : A la suite de l’obtention de notre permis de stage coop, nous avons commencé à rechercher des logements sur la plateforme Airbnb car cela nous semblait être la meilleure solution pour loger à deux et ainsi réduire nos frais.  

Après divers échanges avec le propriétaire d’un logement situé dans le quartier d’Hochelaga, nous avons finalement signé un contrat de location afin de ne pas payer les frais de service apprêtés par la plateforme Airbnb.  

En ce qui nous concerne, nous n’avons pas axé nos recherches sur les groupes Facebook car nous ne souhaitions pas forcément intégrer une colocation de plusieurs personnes et la gestion de sortie de location nous semblait compliquée.  

Par ailleurs, pour ce qui est du coût de la vie à Montréal, nous n’avons pas constaté de grandes différences par rapport à celui de la France. Il faut toutefois faire attention aux prix affichés car ces derniers ne comprennent pas les taxes et peuvent donc laisser penser qu’ils sont plus attractifs.  

 

Que fait-on pendant notre temps libre ? 

Nous : Durant notre temps libre, nous essayons de profiter au maximum de la ville et du pays, en visitant les différents quartiers de Montréal et plus largement, le Canada. Il y a quelques semaines, nous avons notamment eu la chance de visiter la ville de Québec et nous projetons d’aller à Toronto découvrir les Chutes du Niagara et assister à un match de Baseball.  

En parallèle, dans notre quotidien, nous allons régulièrement visiter des musées, pratiquer divers sports mais surtout, en tant que grandes adeptes de brunchs, essayer de nombreux restaurants typiques du pays.  

 

Une expérience en particulier/une anecdote à partager ? 

Nous : Après plusieurs semaines de vie à deux à l’étranger, nous avons de nombreuses anecdotes !  

Par ailleurs, la plus marquante selon nous est bien évidemment le jour de notre arrivée et plus particulièrement nos premières courses dans les supermarchés américains. En effet, dès notre entrée dans le lieu, nous avons été marquées par le format XXL de la plupart des produits, de l’absence d’alcool fort dans les rayons, des prix en dollar affichés ou encore de la grande difficulté à trouver du simple sel.  

De plus, au-delà de ces changements, nous nous sommes vite heurtées à nos habitudes puisqu’à la fin de nos achats, nous avons eu la fameuse question « comptant, débit ou crédit ?», à laquelle nous avons eu un petit moment d’hésitation pour y répondre.  

 

Un conseil pour ceux qui hésitent ? Pourquoi est-il important selon toi d’avoir une expérience à l’international ? 

Farah : Il ne faut vraiment pas hésiter à le faire car c’est une expérience vraiment unique dans une vie, autant sur le plan personnel que professionnel. Dans le monde du travail cela vous permettra de vous différencier et de montrer que vous avez été capable de vous adapter à diverses cultures et situations.  

Aujourd’hui de nombreux recruteurs recherchent ce type de profil, c’est pour cela qu’il est important de s’ouvrir au monde et de se lancer dans l’aventure. Vous ne le regretterez pas !  

Léa : Je rejoins entièrement l’opinion de Farah. Comme elle l’a très bien dit, il s’agit d’une expérience de vie unique et enrichissante qui permet de développer savoir-être et savoir-faire.  

Je recommande à quiconque le souhaite, de passer le cap de partir, quel que soient vos aprioris ou craintes !  

Test
Si l’expérience à l’étranger vous tente ou bien si vous avez des questions et souhaitez ainsi nous en parler, n’hésitez pas à nous contacter sur nos LinkedIn respectifs, Léa SALAÜN et Farah SCHNEIDER !  

 

REJOIGNEZ L'ISCOM