Embarquez aux côtés de nos étudiants dans le cadre du programme Erasmus !
En 3ème année, les Iscomiens ont l’opportunité de passer un semestre à l’étranger notamment via le programme Erasmus. Le temps de quelques mois, ils vivront ainsi immergés dans une nouvelle université et de nouvelles cultures. Après la Finlande et les Pays-Bas, nous vous emmenons à la découverte des expériences de Milla à Dublin, en Irlande et Julie à Sassari, en Italie. Bonne lecture !
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Erasmus, l’étape incontournable pour les Iscomiens de 3ème année
Pourriez-vous vous présenter ?
« Je suis Milla Koehrlen Besson, étudiante en 3ème année sur le campus lyonnais en spécialisation Évènementiel, Influence et Réputation.
J’ai 21 ans et je suis originaire de Provence dans le sud-est de la France. J’ai déménagé à Lyon pour suivre le cursus de l’ISCOM qui me permet aujourd’hui de partir en Irlande pour un semestre à l’étranger. »
« Je m’appelle Julie Grandvoinet, j’ai 21 ans et je suis étudiante en 3ème année à l’ISCOM Lyon. Je suis actuellement en Sardaigne, plus précisément à Sassari, pour un Erasmus de presque 5 mois. »
Qu’est ce qui a motivé votre choix de partir en Erasmus ?
Milla Koehrlen Besson : « J’avais vraiment envie de partir dans un pays anglophone pour peaufiner mon anglais. Dublin et l'Irlande étaient des territoires totalement inexplorés pour moi. Je me suis dit que c'était l'occasion parfaite de partir à l'aventure et de découvrir quelque chose de nouveau. Avant ça, je n'avais aucune idée de ce à quoi m'attendre à Dublin, mais au lieu de me sentir dépassée, j'ai vu cela comme une opportunité excitante de plonger dans l'inconnu et de vivre une expérience vraiment authentique. »
Julie Grandvoinet : « Mon choix a tout d’abord été motivé par les valeurs de l’Université ainsi que les enseignements proposés. C’est aussi une destination avec une culture riche que je voulais découvrir. Pour être honnête, les paysages, les plages et la Dolce Vita ont aussi contribué à ma décision. »
Comment s’est passé votre intégration au sein de l’université ?
M.K.B : « C’était super ! Avant d’arriver, on m'avait dit que les Irlandais étaient super sympas, et c'est tout à fait vrai. Griffith College a l’habitude de recevoir les étudiants étrangers donc tout est pensé pour que tout se passe bien.
Dès les premiers jours, j'ai été chaleureusement accueillie par des personnes bienveillantes prêtes à m'assister pour faciliter mon intégration. L'atmosphère ici est remarquablement détendue, ce qui a considérablement facilité ma transition vers la vie universitaire. Le personnel enseignant et les étudiants sont tous très gentils, contribuant à créer une ambiance propice à l'apprentissage et au développement personnel. Mon expérience d'arrivée à l'université s'est transformée en une aventure positive, attribuable à l'atmosphère professionnelle et amicale. »
J.G. : « Mieux que je ne le pensais ! Nous avons eu différentes activités grâce à l’association dédiée aux Erasmus, qui m’ont permises de nouer des liens avec des étudiants de tous les horizons. Mais, les sardes sont eux aussi très accueillants et m’intègrent facilement lors des cours, où je suis la seule en échange. »
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À la découverte de la communication à l’échelle internationale
Qu’avez-vous noté comme différence(s) entre l’enseignement en France et en Irlande ?
M.K.B : « Les professeurs, tout comme à l'ISCOM, sont des experts dans leur domaine, ce qui s'avère particulièrement enrichissant. Cela offre l'opportunité d'explorer divers aspects de la communication entre la France et l'Irlande. Cela me permet d'élargir mes horizons, d'assimiler de nouveaux points de vue, codes, et références qui diffèrent de ceux que nous connaissons en France. »
J.G. : « À l’Université de Sassari, ce ne sont pas des professionnels mais des doctorants qui enseignent. Donc, nos cours sont très théoriques, contrairement à l’ISCOM. »
Et dans la vie quotidienne ?
M.K.B : « J'ai observé plusieurs distinctions, mais celle qui m'a le plus frappé concerne les horaires de vie. Ici, les repas sont pris plus tôt, et les gens rentrent du travail plus tôt également. Cela s'applique également aux bars et aux boîtes de nuit, qui ferment vers 2 heures du matin, contrairement à la France où les gens restent éveillés plus tard.
Il y a aussi la conduite à laquelle il faut s'habituer. En effet, ils roulent du côté opposé, donc au début, il faut vraiment faire attention en traversant la route. »
J.G. : « Ici, la Dolce Vita n’est pas un cliché. Tout est plus lent, moins urgent. La siesta (sieste) fait l’unanimité, et la plupart des commerces sont fermés entre 13 et 16 heures. C’est un peu des vacances, mais toute l’année ! »
Ces premières semaines vous donnent-elles envie de travailler dans ce pays plus tard ?
M.K.B : « Dublin se révèle être une ville incroyablement accueillante et dynamique, et l'idée de travailler ici peut être très séduisante. L'effervescence de cette ville cosmopolite offre des opportunités professionnelles stimulantes. Cependant, malgré l'attrait certain de Dublin, je garde une affection particulière pour la France. J'apprécie son dynamisme et son rayonnement international qui contribuent à forger une identité unique. Travailler en France me permettrait de rester connectée à cette énergie vibrante tout en participant activement à son développement et à son influence à l'échelle mondiale. »
J.G. : « J’aime beaucoup la région, mais je n’aimerais pas y travailler. La communication a au moins 10 ans de retard. Je préfère évoluer dans un domaine plus moderne. En plus, des opportunités m’attendent en France. Mais une chose est sûre, je reviendrai profiter de l’île. »
Avez-vous eu l’occasion de découvrir la ville et ses alentours ?
M.K.B : « J’ai pu commencer à visiter Dublin, c’est une ville très sympathique/ dynamique et pas si grande, ce qui permet de vite se retrouver et de ne pas se sentir trop perdu. Pour ce qui est des alentours, sans voiture, il est plus difficile de se rendre loin de Dublin. Heureusement, l’université organise des week-ends afin de visiter les alentours ce qui m’a permis de partir à Galway, Bunratty Castle et Westport House. »
J.G. : « Oui ! Malgré un soleil timide ces dernières semaines et des pluies abondantes, j’ai visité la ville et fait quelques excursions. J’ai découvert des plages magnifiques, des paysages désertiques et prévois un road trip pour en découvrir davantage. »
Un grand merci à Julie et Milla pour avoir répondu à nos questions. Nous souhaitons un bel échange académique à tous les Iscomiens !
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